Ombre et lueur
Dans la nuit blanche, accrochée à la terre
Suspendu aux branches, sous les lampadaires
L’ombre de nos corps, nos corps qui s’enlaçaient
Eux qui était d’accord, eux qui se trouvaientSans se chercher, ils se dressaient
En quelques remparts à cette amitié rare
Qui s’échappait pendant que nos sens
S’emprisonnaient dans cette douce errance